Les notes se cognent aux parois
Sombres, puissantes
Martèlent dans un mouvement dénudé
La vérité de l’instant
Sous des doigts courbatus.
La quête inlassable d’une place
Au cœur de ce prélude
Panse les doutes d’hier et de demain.
Là, il n’y a rien –
Qu’un corps en action
Reflet sans fard de ce qui le trouble.