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musique, film, livre, expo... - magali jourdan

magali jourdan

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musique, film, livre, expo...

Un partage, pas forcément en lien
avec l'actualité, mais toujours
avec mon présent

Fil des billets

mercredi, septembre 26 2012

Quentin Sirjacq

mercredi, juillet 18 2012

Gustav Klimt (1862-1918)

samedi, juin 23 2012

Micatone (feat. Stuart A. Staples)

Leur nouvel album sorti il y a quelques mois :

http://magalijourdan.com/blog/public/.sk235lp_photo_1_m.jpg

merci à m&m

jeudi, juin 21 2012

Gerhard Richter

Gerhard Richter Painting on Nowness.com.

Exposition au Centre Pompidou, du 6 juin au 24 septembre 2012

vendredi, juin 15 2012

Elger Esser, photographe




Présentation de l'artiste sur le site de la Galerie Thaddaeus Ropac

Elger Esser est né en 1967 à Stuttgart et a passé son enfance à Rome. Dans les années 90, il rejoint la célèbre classe de Bernd et Hilla Becher à la Kunstakademie de Düsseldorf. Aujourd’hui, il vit et travaille toujours à Düsseldorf. Les vedute et les paysages sont des thèmes classiques qui occupent une place centrale dans le travail photographique de Esser. Ses œuvres se caractérisent par de grandes surfaces monochromes, la prédilection pour une lumière diffuse et uniforme ainsi qu’une tension constante entre micro- et macro-structures. Sensible et précis dans sa façon d’observer le monde qui l’entoure, Esser cherche à capturer ces moments privilégiés qui révèlent le caractère et l’humeur spécifique d’un paysage. C’est tout naturellement que l’on peut rapprocher les photographies d’Elger Esser de la littérature de voyage de la fin du XVIIIe et du XIXe siècle. Sa dernière série repousse encore plus loin la frontière entre peinture et photographie.



mercredi, juin 6 2012

Heaven Can Wait / Stand in my way

J'écoute cette chanson en boucle ces derniers temps.

Et j'aime beaucoup cet enregistrement en studio - loin du monde de la représentation.

Le naturel que je perçois dans cette vidéo est une bouffée d'oxygène.

Et puis une autre qui m'accompagne :

samedi, mai 5 2012

Entretien avec Christian Petzold & Nina Hoss

Kan Mikami

mercredi, mai 2 2012

Derniers coups de cœur (cinéma, musique, littérature)

vendredi, avril 13 2012

Notes de ma cabane de moine, de Kamo no Chômei

"En général les hommes estiment d'abord les amis riches, ou aussi ceux
qui leur manifestent de la bienveillance ; on n'aime pas nécessairement
la bonté ou la droiture. Quant à moi je préfère la musique ou la nature
à des amis comme ceux-là."

Ce texte a été écrit en 1212.


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lundi, mars 5 2012

Petit-déjeuner avec Bashung et Kafka

« Il y a un but, mais pas de chemin ; ce que l’on appelle chemin n’est qu’hésitation » (Franz Kafka)

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dimanche, février 19 2012

ça c'est la ville, et ça c'est ma vie (lhasa)


Cette chanson m'a toujours émue aux larmes

et je découvre aujourd'hui sa raison d'être :

Lhasa sur les traces de son arrière-grand-père

à Marseille.

lundi, décembre 5 2011

Amos Milburn

dimanche, juillet 17 2011

Les conditions du succès, d'Alan Bowness



Présentation par les éditions :
"Si l'auteur prend l'exemple de l'artiste plasticien, cette étude s'applique à tout acteur de la vie publique, sociale ou politique. Puisant ses exemples aussi bien dans l'art du XIXe siècle que dans l'art contemporain, dans la littérature que dans la musique, Alan Bowness définit en effet à quelles conditions l'on peut accéder à la notoriété à l'époque moderne. Son essai dément ainsi les lieux communs du génie incompris ou bien du hasard heureux. Loin d'être acquis par la chance, le succès est atteint grâce à un processus de reconnaissance par un milieu déterminé. Et l'accès progressif à différents stades de reconnaissance rend ce succès largement prévisible. Bowness en distingue quatre : celle des pairs, celle des critiques, celle des marchands, enfin celle du public. La notion d'"artiste moderne" apparaît avec le romantisme. Elle est liée à l'émergence de l'idée de génie associée à l'artiste, mais aussi à celle d'une bourgeoisie puissante. L'artiste moderne devient par là même la personne libre par excellence. Turner puis Van Gogh en incarnent pour Bowness le paradigme. Indispensable, la reconnaissance des pairs permet d'acquérir un premier statut singulier. Bowness aborde là la notion de groupe et ne manque pas alors de noter que l'aide apportée par Pissarro par exemple aux autres artistes a entraîné sa propre dévalorisation. Ainsi, en peu de pages, l'auteur parvient à éclairer, avec la distance de l'observateur, les modalités de l'accession au pouvoir engendré par le succès, ses différents stades et, surtout, l'importance des cercles de relations qui s'établissent autour de la personne visant la réussite. Mais aussi les déboires des uns pour avoir trop aidé autrui…"

Aider autrui à réussir est aussi, d'une certaine manière, réussir... non ?

samedi, juillet 16 2011

Leslie Kaplan

J'ai découvert l'écriture de Leslie Kaplan tardivement. C'était en 2001. Lors d'un projet théâtral, le livre L'Excès-L'usine revenait dans les discussions, et quelques temps plus tard, cette même année 2001, Le Livre des ciels m'a été offert. À partir de ce moment-là, Leslie Kaplan est restée, si je puis dire, dans mes parages. J'ai dévoré Les Amants de Marie et Toute ma vie j'ai été une femme dès leur parution.
Ces derniers temps a sonné à ma porte l'envie de la lire à nouveau. Fever et Les Mines de sel sont ainsi apparus sur ma pile de "livres en attente d'être lus". Les Mines de sel a provoqué chez moi des sensations épidermiques. Leslie Kaplan écrit de sorte que mon regard, celui que je pose intellectuellement sur les choses, change ou s'ébranle.

Ainsi ces paroles Il n'a pas peur de la promesse d'une parole tournent dans ma tête, telles une ritournelle, depuis que j'ai fermé le livre.
Ou encore, cette phrase, qui m'a renvoyée dans mes questionnements sur le crime suite à la lecture de Fever : "On invoque pour tuer les raisons qui devraient inciter à agir."

Si vous n'avez encore rien lu de cet auteur, un conseil : foncez chez votre libraire. (Je ne touche aucun pourcentage sur les ventes)
La fiche auteur de Leslie Kaplan sur le site de son éditeur :

dimanche, juillet 10 2011

Facundo Cabral (1937-2011)


No soy de aquí, ni soy de allá
no tengo edad, ni porvenir
y ser feliz es mi color
de identidad

Une fois n'est pas coutume, je découvre le travail de quelqu'un parce que sa mort - son assassinat, dans le cas présent - vient d'être annoncée dans le journal... Plutôt que dire "trop tard", je préfère dire "mieux vaut tard que jamais" parce que découvrir quelqu'un, même après tout le monde, est une chance. Certaines personnes croisent notre chemin à un moment donné, ni plus tôt, ni plus tard, parce que c'est le (bon) moment d'apprendre, à leurs côtés, autre chose de - et sur - soi-même. Aujourd'hui, davantage que ses chansons, ma curiosité se tourne vers les écrits de Facundo Cabral.

vendredi, juin 10 2011

l'argent



Chez Zola, c'est sous le Second-Empire
Chez L'Herbier, c'est dans les années 1920
Y a-t-il un moyen d'enrailler ce système ?

mercredi, novembre 10 2010

swetlana geier (1923-2010) - traductrice



dans ses silences et dans ses gestes, j'ai compris pourquoi je traduisais.
entre chacun de ses mots, j'ai trouvé un chemin nouveau.
merci, danke, спасибi, à cette dame qui voulait boire une dernière fois
à sa source des cigognes.

Film de Vadim Jendreyko, Die Frau mit den 5 Elefanten :

jeudi, octobre 14 2010

alphaville (1965) - godard



En évinçant certains mots du dictionnaire, simplifiant ainsi le vocabulaire,
les chances de voir une pensée divergente s'élever - diminuent.

Cette phrase n'est pas tirée du film, mais une pensée, souvenir d'un livre de ,
que j'avais en tête durant toute cette étrange aventure de Lemmy Caution.

mardi, octobre 5 2010

1966



du film, on ne retient souvent que l'âne.
mais l'affiche laisse entendre que sa réalité, c'est autre chose.
derrière la pureté des images, la sensualité des gestes, se cache un autre monde, qui frotte et s'effrite.
pendant toute la durée du film, je n'ai eu aucun élan à juger qui que ce soit. les gens sont. comme ça.
et les modèles du réalisateur, inexpressifs, donnent la distance nécessaire à la vague d'émotion pour s'effondrer sur mon fauteuil.
respect, monsieur bresson.

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