du film, on ne retient souvent que l'âne.
mais l'affiche laisse entendre que sa réalité, c'est autre chose.
derrière la pureté des images, la sensualité des gestes, se cache un autre monde, qui frotte et s'effrite.
pendant toute la durée du film, je n'ai eu aucun élan à juger qui que ce soit. les gens sont. comme ça.
et les modèles du réalisateur, inexpressifs, donnent la distance nécessaire à la vague d'émotion pour s'effondrer sur mon fauteuil.
respect, monsieur bresson.