On n'a pas encore découvert que la nature est plus en profondeur qu'en surface.
Car, écoutez un peu, on peut modifier, parer, bichonner la surface, on ne peut toucher à la profondeur sans toucher à la vérité.
Un besoin salubre d'être vrai vous prend. On ficherait sa toile à bas, plutôt que d'inventer, d'imaginer un détail.
On veut savoir… savoir pour mieux sentir, sentir pour mieux savoir.

Les faux peintres ne voient pas cet arbre, votre visage, ce chien, mais l’arbre, le visage, le chien.
Ils ne voient rien. Rien n’est jamais le même.