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musique, film, livre, expo... - magali jourdan

magali jourdan

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musique, film, livre, expo...

Un partage, pas forcément en lien
avec l'actualité, mais toujours
avec mon présent

Fil des billets

samedi, octobre 2 2010

paul virilio

samedi, août 21 2010

Christoph Schlingensief (1960-2010)

En mémoire de Christoph Schlingensief,
vous pouvez soutenir son projet de village-opéra au Burkina-Faso.

Pour vous informer sur ce projet, "où l'art et la vie doivent aller de pair" (C.S.),
cliquez sur le lien :



(capture d'écran de la maquette du festspielhaus afrika)

lundi, juin 7 2010

maud lübeck en concert

elle jouera à Paris aux Trois Baudets (Paris 18°) les 16 juin, 19 juin, 8 et 9 juillet
et le 21 juin à la fête de la chanson en Sorbonne
A chaque fois, c'est à 20h30 - alors un conseil : allez-y, vous ne regretterez pas votre soirée.

pour écouter et connaître son actualité, c'est par ici :
et pour l'image en plus, c'est par là :

mes sensations à la première écoute de sa musique et de ses paroles :

mercredi, mars 3 2010

roman noir



L'auteur souhaitait écrire un livre sur l'aliénation dans l'entreprise, ou comment ne pas en sortir.
Je n'ai pu sortir de ma lecture qu'une fois que je n'ai plus trouvé de pages imprimées.

dimanche, octobre 4 2009

Murió La Negra

Lorsqu'une voix qui parle
pour ceux qui ne le peu
vent pas
s'éteint
c'est un monde
qui plonge peu
à peu
dans le si
lence
un peu
ple qui reçoit
muet
de nou
veau
la douleur du bâillon.


Mercedes Sosa

jeudi, août 6 2009

giacomo leopardi

une belle rencontre avec la sincérité d'un homme qui écrit sans masque apparent ses sensations du monde.
un regard non sans humour sur la nature humaine et ses travers.
un moyen de se regarder en face sans embellissement.

mardi, juin 30 2009

Pina Bausch, l'étrange optimiste réaliste


photo : Wilfried Krüger

C'est ce que je cherche depuis le début : rester proche de la réalité, éviter de rêver et de se déguiser. C'est élémentaire.
Sur scène, on doit reconnaître des hommes et des femmes, non des danseurs ou des danseuses. P.B.

dimanche, avril 26 2009

assassins de l'humanité



Y a-t-il encore une place en ce monde pour ceux qui refusent de se laisser mener par l'argent ?
Y a-t-il encore une place en ce monde pour ceux qui ne jouent pas ?
Y a-t-il encore une place en ce monde pour les gens intègres ?
Exceptés la tombe et l'asile, y a-t-il encore une place pour les gens qui ont (encore) une conscience ?
Combien de temps encore le mot "générosité" aura-t-il sa place dans le dictionnaire ?

Les joueurs sont prêts à faire beaucoup de choses pour de l'argent. Ils jouent tous seuls, entre eux et ne nous donnent les règles du jeu qu'une fois qu'ils nous ont ruinés.
Le jeu n'est pas terminé pour autant. Pas encore...

vendredi, avril 24 2009

voltaire - dictionnaire philosophique

La générosité est un dévouement aux intérêts des autres, qui porte à leur sacrifier ses avantages personnels. En général, au moment où l’on relâche ses droits en faveur de quelqu’un, et qu’on lui donne plus qu’il ne peut exiger, on devient généreux. La nature, en produisant l’homme au milieu de ses semblables, lui a prescrit des devoirs à remplir envers eux. C’est dans l’obéissance à ces devoirs que consiste l’honnêteté, et c’est au delà de ces devoirs que commence la générosité. L’âme généreuse s’élève donc au-dessus de l’intention que la nature semblait avoir en le formant. Quel bonheur pour l’homme de pouvoir ainsi devenir supérieur à son être ! et quel prix ne doit point avoir à ses yeux la vertu qui lui procure cet avantage ! On peut donc regarder la générosité comme le plus sublime de tous les sentiments, comme le mobile de toutes les belles actions, et peut-être comme le germe de toutes les vertus ; car il y en a peu qui ne soient essentiellement le sacrifice d’un intérêt personnel à un intérêt étranger. Il ne faut pas confondre la grandeur d’âme, la générosité, la bienfaisance et l’humanité. On peut n’avoir de la grandeur d’âme que pour soi, et l’on n’est jamais généreux qu’envers les autres ; on peut être bienfaisant sans faire de sacrifices, et la générosité en suppose toujours ; on n’exerce guère l’humanité qu’envers les malheureux et les inférieurs, et la générosité a lieu envers tout le monde. D’où il suit que la générosité est un sentiment aussi noble que la grandeur d’âme, aussi utile que la bienfaisance, et aussi tendre que l’humanité : elle est le résultat de la combinaison de ces trois vertus ; et plus parfaite qu’aucune d’elles, elle y peut suppléer. Le beau plan que celui d’un monde où tout le genre humain serait généreux ! Dans le monde tel qu’il est, la générosité est la vertu des héros ; le reste des hommes se borne à l’admirer. La générosité est de tous les états ; c’est la vertu dont la pratique satisfait le plus l’amour-propre. Il est un art d’être généreux cet art n’est pas commun ; il consiste à dérober le sacrifice que l’on fait. La générosité ne peut guère avoir de plus beau motif que l’amour de la patrie et le pardon des injures. La libéralité n’est autre chose que la générosité restreinte à un objet pécuniaire ; c’est cependant une grande vertu lorsqu’elle se propose le soulagement des malheureux. Mais il y a une économie sage et raisonnée, qui devrait toujours régler les hommes dans la dispensation de leurs bienfaits. Voici un trait de cette économie. Un prince donne une somme d’argent pour l’entretien des pauvres d’une ville; mais il fait en sorte que cette somme s’accroisse à mesure qu’elle est employée, et que bientôt elle puisse servir au soulagement de toute la province. De quel bonheur ne jouirait-on pas sur la terre, si la générosité des souverains avait toujours été dirigée par les mêmes vues !

On fait des générosités à ses amis, des libéralités à ses domestiques, des aumônes aux pauvres.

lundi, janvier 26 2009

coup de coeur



j'avais envie de partager avec vous
ce livre
qui m'a accompagnée sans repos
depuis la librairie jusqu'au milieu de la nuit
dans les couloirs du métro et les rues
et cafés parisiens.

dimanche, novembre 9 2008

maud lübeck

1.
La délicate fragilité d’un leitmotiv
Se brise sous des tintements de cristal
S’affirme dans la chaleur d’une voix
Puis s’envole sous les traits d’une cicatrice souriante

2.
Une musique lumineuse cueille des mots simples
Et laisse s’éveiller quelques notes assoupies
Brûlées par les ailes d’un ange
Au sein enflammé

3.
Les cuivres dessinent un contour
A une pluie de sensations qui
S’entracent, passent
Sous la peau

4.
L’œil d’un enfant en tonalité majeure
Peint des images célestes, suspendues
Au chuchotement du manège de la vie
Qui raille et déraille

pour découvrir l'univers de maud lübeck: http://www.myspace.com/maudlubeck

jeudi, juillet 24 2008

Night Nursery - Festival d'Avignon 2008



... parce qu'il y a des artistes qui vous crochètent le coeur

et tissent avec vous des instants suspendus

dans l'abandon d'un rêve éveillé

dimanche, juillet 13 2008

hokusai ou le vieillard fou de dessin


Femme de profil, Vers 1800-1802
encre et aquarelle sur papier
Non signé, Legs Raymond Koechlin, 1932
EO 3234 © musée Guimet / Thierry Ollivier

lundi, juin 23 2008

Alberto Caeiro (2)


Vis, dis-tu, au présent ;
Vis seulement au présent.

Mais moi je ne veux pas le présent, je veux la réalité ;
Je veux les choses qui existent, non le temps qui les mesure.

Qu'est-ce que le présent ?
C'est une chose relative au passé et au futur.
C'est une chose qui existe en vertu de l'existence d'autres choses.
Moi je veux seulement la réalité, les choses sans présent.

Je ne veux pas inclure le temps dans mon schéma.
Je ne veux pas penser aux choses en tant que présentes ; je veux y penser en tant que choses.
Je ne veux pas les séparer d'elles-mêmes, en les traitant de présentes.

Je ne devrais même pas les traiter de réelles.
Je ne devrais les traiter de rien du tout.

Je devrais les voir, tout simplement les voir ;
Les voir hors temps, hors espace,
Voir en réussissant à me dispenser de tout sauf de ce qui est vu.
Telle est la science du voir, qui n'en est pas une.

in Poèmes désassemblés

jeudi, juin 12 2008

valérie mréjen au jeu de paume


rire de soi à travers son écho

sur l'écran, le mur

ou assise sur un banc

tendant l'oreille à ces discours

drôlement familiers


**********



Je ne supporte pas (2008)

dimanche, juin 8 2008

mots griffonnés pendant l'expo


drap blanc qui masque
son visage. Le vent blanc
emporte le secret
d'une mauvaise nuit
sous le regard de
l'Autre, brune obscure -
"pas de clients", dit-elle.


***

La ligne de force est dans la corde
blanche___
qui tire à elle le corps
qui le méritait.


***

Il n'y a plus de visage.
blanc et noir se strient
pour dépendre la violence faite -
les étreintes des femmes
ne sont qu'un cri à l'en-
contre d'une puissance
de sabre blanc.


jeudi, juin 5 2008

pause avec robert walser

Il ne faut pas que les écrivains se

lundi, juin 2 2008

An die Musik - Franz Schubert



Du holde Kunst, in wieviel grauen Stunden,
Wo mich des Lebens wilder Kreis umstrickt,
Hast du mein Herz zu warmer Lieb entzunden,
Hast mich in eine beßre Welt entrückt!

Oft hat ein Seufzer, deiner Harf' entflossen,
Ein süßer, heiliger Akkord von dir
Den Himmel beßrer Zeiten mir erschlossen,
Du holde Kunst, ich danke dir dafür!

F. Siebert

samedi, mai 31 2008

pad brapad moujika

A l'angle de deux rues
Entre bougies rouges et lustres
Revisités
Les violons d'Ingres tziganes
S'échappent, dos à la fenêtre
Sur les platines aux chapeaux
Clac ! Clac !
Claque la batterie au rythme des
Danses en boubou ou décolletées.
L'écoute se cherche au coeur de la pénombre
En fond de salle
Et l'Est de Paris s'ouvre à l'Europe urbaine.

Le vin se danse en lumières tamisées
L'armée de Voyants masque les notes
Attrapées, perchées sur la banquette de cuir noir.
Très... mollo.
Les robes d'été hurlent les rires.
Tambour martelant dans les couleurs accordées
En si.
Se crie l'écriture sans chant
Dans l'enchantement d'une soirée riante.

La musique n'a plus de visage.

L'écho se grince dans les corps d'un printemps
Prolongé.
Mise en joue : le combat d'archets franchit les frontières.
La rampe dorée s'efface pour scratcher les crins
Enduits de résine de pin -
Séchée.

(impressions de soirée)
lien vers le site de pad brapad moujika :


lundi, mai 26 2008

vladimir clavijo-telepnev, photographe


photo extraite de la série Children -



Le regard d'un enfant est un gouffre

dans lequel nous ne pouvons nous regarder

que scrupuleusement.



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