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tchernobyl - magali jourdan

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Mot clé - tchernobyl

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mardi, juin 26 2012

FC Tchernobyl

jeudi, septembre 8 2011

Tchernobyl ou comment prendre les Français pour des billes.

Le Pr. Pierre Pellerin, ancien responsable du Service de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), a été mis en examen le 31 mai 2006 pour "tromperie aggravée".
Hier, 7 septembre 2011, la cour d'appel de Paris a ordonné un non-lieu.
Qui donc nous a menti, si ce n'est vous, cher professeur ? Actuellement, personne n'est menacé... sauf peut-être votre "voisinage immédiat" d'alors ?

Avoir un passeport français m'embarrasse chaque jour un peu plus ; et de l'embarras à la honte, il n'y a qu'un pas.

samedi, mars 26 2011

Fukushima ne fait plus la Une... mais reste d'actualité

Selon la CRIIRAD, la France fait partie des Etats qui refusent de donner mandat à l’Organisation du Traité d’Interdiction Complète des Essais nucléaire (OTICE/CTBTO) pour rendre publiques toutes les données relatives à la contamination de l’air.
Le communiqué de la CRIIRAD "Colère et indignation. Volet n°2" est disponible
La France se dit transparente mais se garde la possibilité de laisser dans l'ombre des chiffres rassurant. Logique.

TRANSPARENCE, subst. fém. : Propriété qu'a un corps, un milieu, de laisser passer les rayons lumineux, de laisser voir ce qui se trouve derrière.

Toujours selon la CRIIRAD, l'Autriche et l'Allemagne ont passé outre les interdits, considérant que le maintien du secret sur ces données n’est pas compatible avec la réglementation de leur pays. Et si la France suivait autre chose que les Etats-Unis...
allez, j'arrête, et vous, monsieur le président, allez construire votre réacteur à Flamanville.

Etat des lieux du côté des eaux du Japon (Le Monde du 26 mars, 10h) :
Radioactivité élevée à Tokyo et dans la mer. A Tokyo, samedi matin, une radioactivité de 0,22 milliSievert par heure était enregistrée, soit six fois la normale. Un tel degré de radioactivité ne présente cependant rien d'inquiétant pour la santé des populations, selon les autorités. En revanche, un fonctionnaire du ministère des sciences a confirmé que le niveau de radioactivité quotidienne dans la zone située à 30 km au nord-ouest de la centrale de Fukushima avait dépassé la dose d'une année de radiation naturelle. Et plus on se rapproche de la centrale, plus le taux est élevé.

Ainsi, le gouvernement japonais a mesuré des niveaux d'iode radioactif 1 250 fois supérieurs à la norme légale dans la mer, au large de Fukushima, renforçant les craintes d'une rupture de l'étanchéité d'un ou plusieurs réacteurs. Mardi, un renforcement des contrôles sur les poissons et fruits de mer pêchés le long des côtes avait été instauré. "Si vous buvez 50 centilitres d'eau courante avec cette concentration d'iode, vous atteignez d'un coup la limite annuelle que vous pouvez absorber. C'est un niveau relativement élevé", a expliqué un porte-parole de l'Agence de sûreté.

Les autorités japonaises précisent cependant que la radioactivité relâchée dans l'océan pourrait se diluer avec les marées et que la quantité d'iode absorbée par les algues et animaux marins pourrait être moindre. Reste la crainte de diffusion du césium 137, une substance radioactive dont la concentration ne se réduit de moitié que tous les 30 ans. Tepco dit avoir mesuré une concentration presque 80 fois supérieure à la limite légale de cette substance. L'organisation écologiste Greenpeace a annoncé qu'elle allait effectuer des relevés de radioactivité en dehors de la zone d'exclusion de 20 km autour de la centrale, estimant que "les autorités ont en permanence donné l'impression de sous-estimer à la fois les risques et l'étendue de la contamination radioactive..

je maintiens tout ce que je disais dans mon du 13 mars 2011 (faits, questionnements, ironie, etc.)

samedi, mars 19 2011

Le monde n'a rien appris de la catastrophe de Tchernobyl (Svetlana Alexievitch, 19 mars 2011, AFP)

MOSCOU - Risques sous-estimés, désarroi des autorités et des liquidateurs "kamikazes" prêts à se sacrifier : l'écrivain Svetlana Alexievitch, auteur d'un livre sur Tchernobyl, estime à la lumière de la crise nucléaire au Japon que le monde n'a rien appris, vingt-cinq ans après cette catastrophe.

"Le monde n'a rien appris de la catastrophe de Tchernobyl" survenue le 26 avril 1986 en Ukraine soviétique, affirme Mme Alexievitch, 62 ans, dans un entretien téléphonique à l'AFP depuis Minsk.

L'écrivain bélarusse, qui a travaillé pendant dix ans sur "la Supplication", publié en 1997, recueil de témoignages poignants des victimes de Tchernobyl traduit en 20 langues dont le japonais, estime que les réactions humaines au Japon et en URSS "se ressemblent de manière frappante".

"Le mythe (sur la sécurité) atomique est resté intact. On a expliqué la catastrophe de Tchernobyl par le totalitarisme, la négligence des Russes, l'imperfection des réacteurs soviétiques", souligne-t-elle.

"Le monde a retenu que cela s'est passé aux marges de la civilisation" et en a déduit que les pays développés seraient épargnés, poursuit-elle.

En apparence, les centrales japonaises sont impressionnantes, reconnaît-t-elle : "J'ai vu une centrale à Hokkaïdo, de la fenêtre de mon hôtel. C'était fantastique, comme un OVNI blanc posé au bord de l'océan".

"Les gens que j'ai rencontrés au Japon m'ont dit que chez eux un Tchernobyl bis serait impossible. En France, en Allemagne et aux Etats-Unis, j'ai entendu la même chose : leurs centrales sont les plus sûres au monde".

"Mais l'académicien soviétique Anatoli Alexandrov me disait la même chose : les centrales soviétiques sont tellement sûres qu'on peut en construire une sur la place Rouge", se souvient-elle.

"Ce qui me frappe, c'est à quel point la situation ressemble aujourd'hui à ce que j'ai entendu sur Tchernobyl. On disait que Mikhaïl Gorbatchev (numéro un soviétique à l'époque) cachait la vérité. Mes amis au Japon m'écrivent qu'ils ont le même sentiment : on ne leur dit pas tout pour éviter la panique. Le pouvoir est désemparé".

"Les Japonais demandent à l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique) et aux Américains de les aider. Le processus est incontrôlable. Il est temps que l'homme reconnaisse que ses moyens sont limités", poursuit-elle. "Il y a 550 centrales nucléaires au monde, cela suffit pour que la civilisation cesse d'exister".

Autre point commun entre les Soviétiques et les Japonais, selon Mme Alexievitch: l'attitude envers la vie humaine. "Au Japon il y a des +kamikazes+ pour neutraliser les conséquences. A Tchernobyl aussi les gens mouraient sans hésitation. C'est une question de mentalité, quand un individu seul n'a pas de valeur".

"A Tchernobyl, les pilotes d'hélicoptères confectionnaient eux-mêmes des slips en plomb pour se protéger. Mais c'est l'Etat qui aurait dû y penser pour ne pas rendre ses hommes impuissants !", dit-elle en estimant que des Occidentaux n'auraient pas accepté une chose pareille.

"En France aussi il y a beaucoup d'hommes courageux, mais ils exigeraient d'être protégés" dans une situation pareille.

Le livre de Mme Alexievitch, "La Supplication", est interdit au Bélarus, l'un des pays les plus touchés par les conséquences de Tchernobyl, où ce sujet est tabou. Le Belarus vient d'annoncer qu'il allait construire une centrale nucléaire, avec l'aide de la Russie.

"Le monde entier achète des dosimètres et suspend des programmes nucléaires", mais le président bélarusse Alexandre Loukachenko et le Premier ministre russe Vladimir Poutine "annoncent la construction au Bélarus d'une centrale nucléaire sur un terrain dépeuplé... après un séisme sans précédent qui a frappé le pays à cet endroit il y a 100 ans", s'insurge Mme Alexievitch.

(©AFP / 19 mars 2011 09h53)

dimanche, mars 13 2011

nous donnera-t-on les vrais chiffres de la dose reçue cette fois-ci ?

japon
© Kim Kyung-Hoon/Reuters

L'hypercommunication de ces derniers jours se veut-elle signe de transparence ? Et en est-elle vraiment un ?
Qu'est-ce qui pousserait à être exemplaires aujourd'hui, ceux qui (nous) ont menti (ou mal informés, ou désinformés) il y a 25 ans ?
Réjouissons-nous, cette fois-ci pas besoin d'arrêter le nuage à la frontière dans le cas où il ne serait plus aussi discipliné qu'autrefois, cette-fois-ci, nous dit-on, il ne s'aventurera pas si loin.
"Le petit côté Far West qu'adopte la France depuis quelques temps fait peur au nuage." C'est peut-être l'explication à laquelle nous aurons droit cette fois-ci, non ? Nous ne sommes (toujours) pas des bleus, merci...
Autre question : si ça tombe dans les eaux, c'est degré 0 de danger de contamination ? L'eau purifie tout et puis, hop, plus rien ? Si tel est le cas, faudrait purifier tout ça très très vite, avant que les eaux ne rejoignent les terres...

S'il y a des experts (transparents bien sûr) parmi les lecteurs (s'il y a des lecteurs...), toute explication est la bienvenue !

N'hésitez pas à me dire que je suis trop méfiante vis-à-vis de ceux qui nous dirigent, et qu'après l'énorme mensonge Tchernobyl, "on" ne peut pas nous mentir de nouveau, m'enfin ! A quelles fins ? Et puis de toute façon, avec des litres d'eau de mer, ils vont parvenir à refroidir tous les réacteurs défaillant. Et la petite fuite avant, ce n'était rien du tout. Et puis ce ne sont pas tous les réacteurs qui sont concernés. Pas encore. Non, vraiment, ne vous inquiétez pas. Désolée de vous avoir alarmés.


mon texte sur Tchernobyl est (malheureusement) toujours d'actualité :


mise à jour du 17 mars 2011, 11h :
depuis que j'ai écrit ce billet, j'ai envoyé des mails à plusieurs scientifiques/journalistes, j'ai posté des questions dans des entretiens live sur des sites d'information. Toujours concernant les conséquences des retombées des particules dans l'océan. Aucune réponse.
Aujourd'hui je lis dans la presse « Les précipitations peuvent faire retomber les particules vers le sol, dans l’océan par exemple. » ok, ça tombe dans l'eau. et après ?? aucun risque de contamination ?
si ma question est idiote, svp dites-le moi et expliquez-moi pourquoi.

mise à jour du 19 mars 2011, 13h :
aucune réponse reçue, mais j'ai lu ce que je sous-entendais déjà dans mon billet : cela pourrait avoir des conséquences sur la chaîne alimentaire. information étrangement peu diffusée. non martelée. pourquoi ? faut écouler les stocks de poissons par exemple ? d'accord pour ne pas alarmer les gens, mais quand il y a un risque, je n'appelle pas cela alarmer, mais informer.

lundi, avril 26 2010

tchernobyl - 26 avril 1986

sous une forme ou sous une autre - c'est encore d'actualité
un reportage d'Envoyé spécial datant du 25 avril 1991, "Tchernobyl le mensonge" :

mardi, octobre 28 2008

lecture de "rosée blanche" le jeudi 6 novembre à paris

mardi, mai 20 2008

rosée blanche (texte orphelin)

rosée blanche, écrivaillerie

Trois monologues et un dialogue, où se tissent la catastrophe de Tchernobyl et la mort intime du père.

Texte soutenu par l'association Beaumarchais-SACD



photo : Pierre-Henri Chauveau

quelques extraits en ligne
cliquez ici



PRESSE : cliquez ici :

LECTURES PUBLIQUES :
Le 6 Novembre 2008 à la Maison des Auteurs - SACD (Paris 9°)

Le 15 Janvier 2009 au Ring (Avignon)